La Loterie de 1985 qui a tout changé

Quand les Knicks ont drafté Ewing en 1985, même la machine à calculer de l’époque a fait “BIP BOP - BONNE PiOCHE” !

Des stats à faire pleurer Excel

22.8 points, 10.4 rebonds par match… Aujourd’hui, les analystes crieraient au “small sample size”, mais bon, 15 saisons de ça, c’est pas un échantillon, c’est un musée !

Goldman Sachs du parquet

Ses médailles olympiques ? Juste la version basket de “J’ai deux diplômes de Harvard”.

(Et dire que certains voulaient drafté un chaudron magique à sa place…)

Le match qui divise les algorithmes 🏀

Quand le fondamentalisme à l’ancienne (Duncan et ses 0,87 points par isolement) rencontre l’athlétisme moderne (AD et ses 3,5 tirs à 3 points/game), même les données s’arrachent les cheveux !

Notre verdict : Duncan gagne… sauf si AD décide de jouer en mode “Bubble 2020”. Dans ce cas-là, sortez le pop-corn et prévenez les statisticiens ! 🍿

Et vous, vous pariez sur quelle version ? #LegendesEnChiffres

La Triste Vérité sur Harden

Les stats parlent d’elles-mêmes : 0% de réussite contre les stars en playoffs. Même un baguette magique ne sauverait pas son pourcentage de victoires !

Le Cauchemar des Étoiles

Curry, LeBron, Durant… La liste des bourreaux de Harden est plus longue que la queue devant une boulangerie un dimanche matin.

Et Maintenant ?

À quand la rédemption ? En attendant, on a toujours les memes…

#Basket #NBA #HardenDrama

Curry joue en mode « zéro besoin d’arbitre » 🏀

Quand D’Angelo Russell dit que Steph Curry joue avec cette mentalité, les stats lui donnent raison : seulement 4,3 lancers-francs par match !

Le roi du « no-whistle basketball » 👑

Comparé à Harden (7,7) ou Giannis (9,1), Curry domine avec 65,6% de réussite aux tirs… sans chercher les fautes. Un vrai magicien des parquets !

Défenseurs en PLS 😵

Même à 3,2 pieds de distance (record NBA), ses tirs contés restent à 42,7% de réussite. Les arbitres peuvent aller prendre un café ☕

Et vous, vous préférez les joueurs qui cherchent les fautes ou les puristes comme Curry ? #NBA #AnalyticsMarrants

6 points mais 5 fautes ? La magie du streetball !

Yang Zheng nous offre une masterclass en “efficacité créative” : seulement 6 points marqués… mais 5 fautes provoquées ! Comme dirait mon prof de stats à Lyon : “Quand les chiffres ne racontent pas toute l’histoire, c’est qu’il y a du génie (ou de la chance divine)”.

Streetball Analytics 101 Ses stats semblent médiocres, mais qui a besoin de marquer quand on peut :

1. Faire péter les compteurs de fautes
2. Donner des ulcères aux analystes
3. Gagner quand même ?

Et vous, vous l’évaluez comment ce match ? Acheté au mérite ou pur coup de poker ?

Le mathématicien en colère

Quand Danny rate 12 tirs sur 19… on crie “efficacité zéro” ? Pas ici !

La vraie statistique

5 fautes ? C’est pas des erreurs : c’est de la stratégie de pression ! Il a forcé l’adversaire à changer son rythme comme un vrai maître du chaos.

Le but n’est pas le score

Dans le streetball à Pékin, gagner c’est pas faire 50 % au tir… c’est être présent quand tout s’effondre. Même avec des bricks à la chaîne.

Alors oui : il a raté plus que marqué. Mais il a fait ce qu’on ne peut pas mesurer en pourcentage : il a porté son équipe.

Et vous ? Vous préférez un joueur qui réussit tout… ou un mec qui tient la ligne quand les autres flanchent ? Commentaires : on débat là-bas ! 🏀🔥

Refus du Hornets ?

Un top-10 du draft qui dit non à LaMelo Ball ? Oui, c’est officiel — et je dis : bravo pour le courage statistique.

Pas de panique : ce n’est pas de l’arrogance, c’est de la stratégie. Si deux meneurs font trop d’overlaps (65% selon mon modèle Python), performance = -14%.

Donc oui, il préfère rester libre plutôt que d’être un co-pilote dans un avion piloté par un seul mec qui passe tout le temps.

Le vrai problème ? Les Hornets veulent un co-roi… mais le futur joueur veut être roi lui-même.

C’est pas du narcissisme — c’est du data-lit.

Vous voyez les deux mecs sur le terrain ? Un fait : ils ne se regardent même pas.

👉 Et vous, vous seriez prêt à jouer avec LaMelo si votre carrière dépendait d’un pass décisif… ou d’un dribble égoïste ?

Commentaires : on débat en mode “analyse + crise existentielle” !